FREDERICTON (CNB) – Huit organismes ont obtenu l'approbation de la Société d'inclusion économique et sociale pour établir des réseaux régionaux communautaires d'inclusion.

« Je félicite les organismes qui ont été choisis et je remercie ceux qui ont soumis une demande pour organiser un réseau communautaire d'inclusion », a déclaré la ministre du Développement social, Sue Stultz, qui fait aussi partie des quatre coprésidents de la Société. « Ces réseaux sont un élément important du plan de réduction de la pauvreté du Nouveau-Brunswick, car ils fourniront un forum inclusif visant à coordonner les efforts de réduction de la pauvreté à l'échelle régionale. »

Les réseaux élaboreront des plans de réduction de la pauvreté et travailleront ensemble en vue d'offrir des programmes adaptés aux besoins régionaux. La Société leur fournira les ressources financières et le soutien nécessaires.

L'objectif est d'avoir 12 réseaux fonctionnels d'ici à cet été. Des lettres d’intention ont été présentées par toutes les régions, et la Société a approuvé, jusqu’à maintenant, les parrains pour les huit réseaux suivants :

●    Région 1 : Grande région de Moncton / Comté de Westmorland / Comté d’Albert : Centraide de la région du Grand Moncton et du sud-est du Nouveau-Brunswick;
●    Région 2 : Grande région de Saint John / Sussex / Queens Est / Kings Est : Vibrant Communities Saint John;
●    Région 3 : Fredericton / York Sud / Tracey / Oromocto / Gagetown / Comté de Sunbury / Queens Nord / Minto / Chipman : Greater Fredericton Social Innovation;
●    Région 5 : Comté de Restigouche : Centre Priorité Jeunesse inc.;
●    Région 6 : Bathurst et les environs : Centre des jeunes.;
●    Région 8 : Comté de Charlotte : Charlotte County Community Inclusion Network;
●    Région 10 : Comté de Carleton : Carleton County Community Inclusion Network; et
●    Région 11 : Comté de Kent : Éducation Kent.

« Les réseaux communautaires d'inclusion sont un outil important pour la lutte contre la pauvreté, et chacun d'eux représentera sa propre collectivité », a affirmé Léo-Paul Pinet, un des coprésidents de la Société. « Comme certains réseaux sont maintenant en fonction, les intervenants communautaires peuvent mettre en œuvre l'importante étape qui consiste à examiner les efforts de réduction de la pauvreté dans leur région, car nous reconnaissons que les besoins d'une région de la province seront différents d'une autre. »

En vertu de la Loi sur l'inclusion économique et sociale, la Société peut reconnaître un réseau communautaire d'inclusion si le groupe local a établi une structure pour la gouvernance et la prise de décisions qui demandera la participation d’un conseil d'administration formé de représentants du milieu des affaires, du gouvernement et du secteur sans but lucratif, et de résidents qui vivent ou qui ont vécu dans la pauvreté.

Les réseaux proposés doivent présenter au moins deux lettres de soutien provenant de collectivités de leur région. Ils doivent aussi démontrer qu'ils peuvent trouver des ressources communautaires de diverses sources, élaborer un plan visant à satisfaire les besoins linguistiques de la collectivité et établir un processus acceptable et transparent en matière de gestion des fonds.

Les organismes ont été invités à soumettre leur demande et un plan provisoire à la Société pour qu'elle en tienne compte.

Une carte des 12 régions est disponible en ligne.

LIEN :

●    Société d'inclusion économique et sociale : www.gnb.ca/pauvreté